En Serbie, les relations propriétaires/locataires sont parfois différentes de celles qu’on rencontre en France. En l’occurrence, Branimir, mon propriétaire m’invite toujours à prendre le petit-déjeuner avec lui chaque mois lorsque je lui règle les 220 euros que me coûte mon appartement.
Il me parle toujours (dans un anglais pas mauvais) de sa maison de campagne, située à une dizaine de kilomètres au sud-est de Belgrade, à Grocka pour être précis. Vendredi, plutôt disponible, je l’ai donc accompagné sur place. Branimir travaillait pour la police, en bureau et est aujourd’hui retraité. Mais surtout il est très gourmand et n’arrête pas de manger ses cerises (NDLR, des griottes selon ma grand-mère). Et moi aussi du coup, j’en goûte quelques-unes tout en prenant des photos.
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